Rapide descente située au-dessus du village de Saint-Thibaud-de-Couz. Une belle cascade d’une trentaine de mètres et un mignon tout petit encaissement la précédant.
Descente réalisée avec Patrick.
Rapide descente située au-dessus du village de Saint-Thibaud-de-Couz. Une belle cascade d’une trentaine de mètres et un mignon tout petit encaissement la précédant.
Descente réalisée avec Patrick.
Nous avions déjà repéré la cascade finale, immanquable quand on gagne Chambéry par Les Echelles après par exemple les gorges de Chailles. Petite descente sympathique et bien alimentée, dont l’équipement est par contre très vieillissant. Le relais suspendu sous l’arbre de la grande cascade n’est pas un grand moment de confort…
Descente réalisée avec Patrick.
Descente toujours aussi originale. Plus d’eau qu’en novembre 2006, notamment à partir des résurgences de Costeplane.
Descente réalisée avec Patrick.
Ravin peu intéressant sur sa partie haute mais qui se termine dans un bel encaissement un peu étroit. Le débit était un peu conséquent, il faut donc être très attentif dans les nombreuses désescalades non équipées. Rencontre avant l’encaissement avec un petit chamois bloqué, trop apeuré par l’eau pour suivre les traces de sa mère qui s’était enfuie en nous entendant. Tentative de sauvetage, mais ratée.
Descente réalisée avec Patrick.
De beaux passages bien creusés par ce torrent dominant la vallée façonnée par le torrent des Duyes. L’accès routier et piétonnier longe une communauté religieuse : attention à bien respecter leur quiétude !
Descente réalisée avec Patrick.
Nous avons testé l’intégrale : la partie haute ne vaut franchement pas le déplacement, mis à part pour ses originalités géologiques et sa marche d’approche dans les superbes paysages de la Réserve Géologique de Haute-Provence. La partie basse est plus intéressante et mieux équipée.
Descente réalisée avec Patrick.
Peut-être plus esthétique que le Riou de Moustiers : pas de gros obstacles mais de beaux creusements, une roche blanchie par des dépôts argileux et une eau émeraude. Le passage de la « poire » tout en jeux de lumière tient ses promesses. Le nouveau retour balisé en rive droite, annoncé en une demi-heure, fait en réalité je pense un peu plus.
Descente réalisée avec Patrick.
On ne croyait pas que le Riou puisse couler plus d’une semaine après les pluies : eh bien si ! Une eau limpide mais fraiche remplaçait les habituelles vasques croupies décrites par les forumistes de Descente-Canyon. Une très belle descente continue et variée dominant le village typique de Moustiers-Sainte-Marie.
Descente réalisée avec Patrick.
Descente aux portes d’Irun qui permet aussi de découvrir un peu du patrimoine industriel et minier du coin (mines et hauts fourneaux). La partie creusée avant les cascades vaut le coup et la grande cascade (qui est plutôt une rampe) est agréable. Elle aurait nécessité un peu plus d’eau, mais dans ce cas-là le haut doit être un peu sport… Dommage que l’équipement soit dans un état déplorable (corrosion avancée). Belles vues sur la baie d’Hendaye durant la marche d’approche.
Le passage de l’arche.
Vue depuis le chemin d’approche.
Descente réalisée avec Sébastien.
Traversée spéléologique tout simplement exceptionnelle : beaux porches d’entrée et de sortie, niveau d’eau intéressant, obstacles arrosés… Bref, 2h30 de beau canyon, mais sous terre dans une grande ambiance : hauts plafonds, grondement assourdissant de l’eau… ! A faire, mais en ayant quand même une bonne expérience préalable de la spéléo.
Le porche d’entrée (40m).
On retrouve la lumière du jour pour les dernières cascades.
Le porche de sortie (80m).
Descente réalisée avec Sébastien.
Modeste ravin encombré de troncs dont le principal attrait reste l’imposante hêtraie que l’on traverse pendant la marche d’approche. Agréable tout de même pour compléter une journée.
Descente réalisée avec Sébastien.
Descente réalisée avec Sébastien.
Descente d’un ravin de montagne très peu intéressant. A faire peut-être en petite crue pour y trouver un minimum d’intérêt canyon ?
Descente réalisée avec Sébastien.
Descente faite à la suite d’Artazul en remontant Licebar par sa rive droite. Un bel encaissement et des obstacles sympas, tout au moins au début. Malheureusement peu d’eau. Une descente à faire néanmoins quand on est en Navarre.
Descente réalisée avec Sébastien.
Déjà, la première cascade est assez fantastique : un rappel surplombant de 30 mètres à quelques mètres de la clôture d’un champ. Et le reste ne démérite pas : de beaux obstacles bien creusées et une cascade finale de 42 mètres superbe. Incontournable !
Descente réalisée avec Sébastien.
Une cascade de 30 m sous des maisons et un canal en béton. Bof !
Descente réalisée avec Sébastien.
Descente bien continue dans un bel encaissement caché dans les pentes boisées du Higa. Les obstacles recouverts d’une belle calcite orangée s’enchaînent sans discontinuer. Et en plus nous avons eu la chance d’avoir de l’eau tout le long !
Descente réalisée avec Sébastien.
Un large ravin taillé dans les shistes ardoisiers. Trois obstacles en tout et malheureusement peu d’eau. On aime ou pas. J’ai bien aimé « l’ambiance lunaire » comme dit Luis Mariano Matteos Marcos dans son topo. Malgré tout la course reste dangereuse : les chutes de pierres sont permanentes.
Descente réalisée avec Sébastien.
Descente peu continue mais pas inintéressante, particulièrement pour son enchainement final. Malheureusement trop peu d’eau dans les parties amont ce jour là pour vraiment en profiter. A faire un peu plus tôt, certainement en fin de fonte des neiges.
Descente réalisée avec Sébastien.
Un mini-cayon très esthétique qui n’est pas sans rappeler ses voisins aragonais. De beaux obstacles et un final sympa sous une petite beaume.
Descente réalisée avec Sébastien.