Une boucle de six heures avec de bons passages sangliers pour finir par se tromper de vallée et revenir bredouille à la voiture. On cherchait au départ à gagner l’amont d’un canyon qui paraissait prometteur non loin de la frontière grecque, au sud de Konopiste.
Bilan de la journée façon Bridget Jones :
– intrusion (sans le savoir) dans une zone frontière strictement interdite
– 1 bonne heure de lutte contre les taons géants macédoniens (cf. P. Timsit : « ils piquent pas, ils t’empalent ! »)
– le carter de la canyon-mobile percé sur la piste
+ 2 tortues observées dans leur milieu naturel
+ Un vieux sentier élagué à la machette
+ pas mal de kilo-calories perdues
La canyon-mobile stressée nous fait un ulcère.