Archives de catégorie : France

Ravin de Ray

Descente sèche peu intéressante, constituant une alternative pour rentrer dans la clue de la Cerise. A faire une fois pour la vue finale sur la Cerise et la descente au niveau de l’arche naturelle, malheureusement encombrée de nombreuses cordes fixes installées pour sortir de la Clue par ce ravin.

Ravin de Ray

Descente réalisée avec Mickaël.

Trou des Corneilles

Une des plus belles descentes des Alpes Maritimes, enfin à mon goût… Fantastique – mais court – encaissement taillé dans un calcaire sombre. Nous l’avons fait en fin de journée et l’ambiance était presque spéléo, s’il n’y avait eu les cris des corneilles (Oh pardon des chocards à bec jaune dixit Franck Jourdan) pour nous rappeler qu’on était bien dans un canyon…

Trou des Corneilles

Descente réalisée avec Mickaël.

Vallon de Riou Blanc

L’eau était froide et abondante. Une des trois cascades de l’étroit final pousse vraiment un peu fort. Pas d’autres difficultés : les amarrages permettent le plus souvent de descendre hors de l’eau (et c’est souvent dommage) ou sur le bord du flux. Descente originale d’un ravin calcifié et peu encaissé. On aime ou on n’aime pas… En tout cas, beau cadre et belles couleurs automnales !

Vallon de Riou Blanc

Descente réalisée avec Mickaël.

Vallon des Adousses

Long vallon ne présentant pas d’autre intérêt que son cadre montagnard et ce jour là les belles couleurs automnales de la Tinée. Deux cascades sont agréables mais manquaient malheureusement d’eau.

Vallon des Adousses

Descente réalisée avec Mickaël et Stéphane.

Cascades de la Fouge

Toujours aussi sympa. On a testé la navette par la rive droite. Cela nécessite ensuite une dizaine de minutes de marche d’approche mais épargne 4 kms de navette dont presque trois sur une piste.

Cascades de la Fouge

Descente réalisée avec Anthony G., Manue, Mélissa et Patrick.

Cascade de Cerveyrieu

Certainement la plus belle cascade de l’Ain (enfin à mon goût). 2 goujons ont été rajoutés pour éviter la première vasque en cas de gros débit. La cascade finale a également été équipée de nombreux points en rive droite qui semblent peu utiles.

Cascade de Cerveyrieu

Descente réalisée avec Anthony G., Manue, Mélissa et Patrick.

Canyon du Groin

Splendide ! Nous ne l’avions pas fait depuis mai 2004 et ça valait la peine de le refaire. Sortie à l’échappatoire du Pont du Diable comme indiqué. La première partie est de toute façon nettement plus intéressante que la seconde.

Canyon du Groin

Descente réalisée avec Anthony G., Manue, Mélissa et Patrick.

Cascades de Charabotte

La descente de ces cascades pourrait être plus intéressante si l’eau était moins polluée par les rejets de la commune d’Hauteville (une odeur de lessive nous suit tout le long de la descente…) et s’il existait un équipement logique. La ligne de rappel est en effet loin de l’eau et ne semble pas complète : nous avons dû faire un rappel de presque 80 m pour enchaîner la C15 et la C50, faute d’avoir pu relayer (la roche est pourrie !)

Cascades de Charabotte

Descente réalisée avec Patrick.

Gorges du Pont à Favre

C’est la première gorge creusée par le Séran. le creusement est moins remarquable que dans les gorges de Thurignin mais les lumières sont plus belles. Non équipée et aussi courte que Thurignin…

Gorges du Pont à Favre

Descente réalisée avec Manue et Patrick.

Gorges de Thurignin

Pas de garde-pêche s’opposant à notre descente comme lors de notre tentative précédente… La gorge est esthétique, très courte, et n’est pas équipée. On descend donc les cascatelles comme on peut… A faire pour la beauté du creusement.

Gorges de Thurignin

Descente réalisée avec Patrick.

Gorges de la Langouette

Gorges assez austères creusées par la Saine au niveau du village des Planches-en-Montagne. Le débit est assez important et la plupart des quelques obstacles se descendent hors-d’eau. Le défilé terminal est très vert, bien encaissé et rectiligne : original pour le Jura.

Gorges de la Langouette

Descente réalisée avec Manue et Patrick.

Ruisseau de la Pèle

La descente de ce ruisseau est agréable (petites cascatelles, grandes dalles de calcaire recouvertes de tuf) et l’arrivée dans le lac de Vouglans est bien originale. Pour éviter la marche de retour décrite dans le topo, nous avions laissé équipé en fixe la dernière double cascade : pas terrible ! Il y a en effet de nombreux frottements car les amarrages sont bien mal situés et les deux bombés sont assez pénibles à remonter dans ces conditions. Mais globalement la course est à classer dans les « petites classiques » du Jura.

NB : Plus possible d’avancer la voiture sur la piste comme à l’époque de la rédaction du topo-guide. Peu importe : cela rajoute seulement 10 grosses minutes de marche.

Ruisseau de la Pèle

Descente réalisée avec Patrick.

Ruisseau du Four à Chaux

Accès au départ de la descente un peu galère, des ordures et une première partie bien peu intéressante entre la colonie de vacances et la route de Coisia (mieux vaut d’ailleurs commencer la descente à cet endroit). Le reste de la descente est composé de 4 cascades de tuf, dont une C40. Les obstacles ne correspondent pas tout à fait avec la fiche que nous avions de Descente-Canyon. Descente globalement peu intéressante, au moins avec ce débit-là.

Ruisseau du Four à Chaux

Descente réalisée avec Patrick.

Saut du Dard

Après s’être trompés de direction (nous voulions aller au Four à Chaux), nous nous rabattons sur cette unique cascade de 40 m. Le débit est correct et la cascade assez esthétique. Une bonne surprise !

Saut du Dard

Descente réalisée avec Patrick.

Ruisseau de Pissevieille

Nous sommes partis pour la marche d’approche vers 11h40 : la grande cascade vaporisait un filet d’eau. Moins de 2h30 plus tard, dans les dernières cascades, le débit nous semblait plus important : on pensait donc qu’une perte absorbait l’eau un peu avant la C 72. Mais non : le débit était bien correct dans la grande cascade. Que s’est-il passé ? Une montée en charge suite aux pluies de la nuit ou suite à une brève averse de 10 min au début de la descente ? Toujours est-il que les conditions de descente furent idéales, contre toute attente. Le ruisseau est alors une belle classique. A faire !

Ruisseau de Pissevieille

Descente réalisée avec Patrick.

Ruisseau des Côtes

Nous étions partis persuadés de faire une descente du niveau de celle des « Monts » (ruisseau donnant sur la route des Ecouges), mais non ! Le ruisseau des Côtes est un peu plus intéressant : une cascade sympa (la dernière, C 14). Elle mériterait d’ailleurs un rééquipement puisqu’elle se descend maintenant très bien dans l’eau (le bloc suspendu mentionné dans le topo-guide « Vercors et alentours » n’est plus là ).

Descente réalisée avec Patrick.

Ruisseau des Pellas

Descente effectuée à la suite de celle du ravin de Mouna. Manque de chance, on arrive après la partie qui semble la plus intéressante. Contrairement à ce qui est précisé dans le topo-guide « Infern’eaux », la dernière cascade ne serait pas infranchissable en cas de gros débit puisqu’elle peut se shunter en rive droite. Même remarque pour la couleur de l’eau que concernant Mouna.

Descente réalisée avec Manue et Patrick.

Ravin de Mouna

Petite descente intéressante et bien continue. Les six obstacles s’enchaînent bien. Le ravin n’est pas exceptionnel ni du point de vue de son creusement ni de son encaissement, mais il était au moins bien alimenté. L’eau était malheureusement trouble suite aux orages de la nuit.

Descente réalisée avec Manue et Patrick.

Canyon du Versoud (partie haute)

Intéressante descente d’une grande cascade de 150 m. Malheureusement, ancien et nouvel équipement cohabitent, ce qui ne simplifie pas la « lecture » de la voie de descente quand on ne la connaît pas. Nous sommes remontés par le passage du Versoud (humide et glissant, attention !), mais cela semble moins pire que de réaliser la partie médiane ! Comme on n’a pas vu le départ du sentier, on a d’ailleurs fait un peu les sangliers…

Descente réalisée avec Manue et Patrick.