Descente réalisée avec Laurence.

Descente réalisée avec Fabienne, Jean-Pierre et Laurent S.

Débit correct dans la Pissarde, ce qui nous a enfin permis de voir la C80 sous son meilleur jour.

Descente réalisée avec Gérald.

Parcours juste avant la tombée du jour après le Ruzand. Un duo d’extrémistes (Anne-Claire et Nicolas E.) était pendant ce temps dans la cascade des Trois Blaireaux avec un micro filet d’eau. Enfin un vrai débit dans le canyon pour nous.

Descente réalisée avec Boris, Eric F., Gérald et Stéphane B.

Descente réalisée avec Anne-Claire S., Boris, Eric F., Gérald, Laurence, Nicolas E., Pascal C. et Stéphane B. Ouf, j’ai oublié personne ?

Descente réalisée avec Laurence.

Descendre Craponoz en plein mois de février avec les risques inhérents aux possibles chutes de glace ?… Au départ, je ne pensais pas que ce fut possible. La suite me prouva que non… Le redoux était assez exceptionnel et il n’y avait pas réellement de danger lié à la glace. Une très belle journée finalement dédiée au repérage des déchets jonchant le canyon en vu de l’organisation de la future dépollution. La première cascade était magnifique avec ces quelques concrétions de glace au niveau de la vasque intermédiaire.

Arrivée dans la vasque suspendue de Gorgette.

Un peu de glace quand même malgré le soleil.

Laurence dans la goulotte finale de Gorgette. Photo Alexis Carreel.

C’est parti pour 100 m de douche ! Photo Alexis Carreel.

Descente réalisée avec Alexis et Laurence.

Que faire avec des amis spéléos de passage en plein mois de février ? Et bien une petite Pissarde histoire de profiter d’une après-midi ensoleillée. Un peu frais à la sortie, surtout en attendant Raph qui avait oublié les clés de la voiture aval dans la voiture amont !

Descente réalisée avec Anna et Raphaël.

Pourquoi par une belle journée d’hiver sur le plateau du Vercors (neige, soleil et ciel bleu) aller faire comme tout le monde des activités dans la neige ? Il vaut bien mieux aller dans le froid et à l’ombre des gorges de la Bourne descendre un ravin sec sans forme de creusement… Il faudra que ça serve de leçon à l’avenir !!

Descente réalisée avec Anne-Claire, Boris, Eric F. et Laurent S.

Descente réalisée avec Sylvain et Yohan.

Pas mal de canyons du coin semblaient en crue, du coup le débit dans l’Olette était très correct. Départ sur la neige et arrivée au niveau du Furon en petite crue, bien chocolat.

Couleurs automnales et soleil couchant pour une descente avec un débit pour une fois correct.

Descente réalisée avec Manue et Patrick.

Descente réalisée avec Gaëtan.

Très bel encaissement avec des petits obstacles variés. C’est bien sûr trop court mais finalement beaucoup plus intéressant que la version intégrale de la partie haute que j’avais faite il y a trois ans.

Descente réalisée avec Pascal et Patrick.

Après un bug pour trouver l’accès l’an dernier, nous retentons notre chance avec le nouveau topo-guide de Bertrand Hauser et Delphine Baratin. Et cette fois-ci, pas de problème ! La Voroize cascade d’une vingtaine de mètres dans les bois proches de Veurey. A faire comme ça en passant…

Descente réalisée avec Pascal et Patrick.

Outre son faible débit ce jour-là, cette course fut décevante car peu continue (deux grandes cascades intéressantes séparées par de la marche dans des blocs glissants) et polluée. Une forte odeur d’eaux usées parfume en effet le ruisseau dès l’arrivée de la marche d’approche, juste avant la C20. Bref, on n’a pas été emballé !

Descente réalisée avec Pascal et Patrick.

Nous étions partis persuadés de faire une descente du niveau de celle des « Monts » (ruisseau donnant sur la route des Ecouges), mais non ! Le ruisseau des Côtes est un peu plus intéressant : une cascade sympa (la dernière, C 14). Elle mériterait d’ailleurs un rééquipement puisqu’elle se descend maintenant très bien dans l’eau (le bloc suspendu mentionné dans le topo-guide « Vercors et alentours » n’est plus là ).

Descente réalisée avec Patrick.

Descente effectuée à la suite de celle du ravin de Mouna. Manque de chance, on arrive après la partie qui semble la plus intéressante. Contrairement à ce qui est précisé dans le topo-guide « Infern’eaux », la dernière cascade ne serait pas infranchissable en cas de gros débit puisqu’elle peut se shunter en rive droite. Même remarque pour la couleur de l’eau que concernant Mouna.

Descente réalisée avec Manue et Patrick.