Refait un an après jour pour jour. Toujours aussi sympa mais c’est regrettable que le débit ne soit pas plus important !
Descente réalisée avec Corinne, Jean-Michel Luc et ?…
Refait un an après jour pour jour. Toujours aussi sympa mais c’est regrettable que le débit ne soit pas plus important !
Descente réalisée avec Corinne, Jean-Michel Luc et ?…
Très belle clue traversée par l’Estéron. Pas mal de beaux passages, de l’eau émeraude mais un retour à contre-courant parfois difficile en cette saison…
Descente réalisée avec Mickaël.
Descente sèche peu intéressante, constituant une alternative pour rentrer dans la clue de la Cerise. A faire une fois pour la vue finale sur la Cerise et la descente au niveau de l’arche naturelle, malheureusement encombrée de nombreuses cordes fixes installées pour sortir de la Clue par ce ravin.
Descente réalisée avec Mickaël.
Une des plus belles descentes des Alpes Maritimes, enfin à mon goût… Fantastique – mais court – encaissement taillé dans un calcaire sombre. Nous l’avons fait en fin de journée et l’ambiance était presque spéléo, s’il n’y avait eu les cris des corneilles (Oh pardon des chocards à bec jaune dixit Franck Jourdan) pour nous rappeler qu’on était bien dans un canyon…
Descente réalisée avec Mickaël.
L’eau était froide et abondante. Une des trois cascades de l’étroit final pousse vraiment un peu fort. Pas d’autres difficultés : les amarrages permettent le plus souvent de descendre hors de l’eau (et c’est souvent dommage) ou sur le bord du flux. Descente originale d’un ravin calcifié et peu encaissé. On aime ou on n’aime pas… En tout cas, beau cadre et belles couleurs automnales !
Descente réalisée avec Mickaël.
Long vallon ne présentant pas d’autre intérêt que son cadre montagnard et ce jour là les belles couleurs automnales de la Tinée. Deux cascades sont agréables mais manquaient malheureusement d’eau.
Descente réalisée avec Mickaël et Stéphane.
Descente réalisée avec Manue et Patrick.
Une petite course d’initiation (petits sauts et quelques toboggans) à faire une fois (longues parties de marche glissantes, peu d’encaissement). Le retour est long (1h30) pour une descente de 2 heures.
Descente réalisée avec Manue et Patrick.
Descente en trois parties : trois toboggans recouverts de tuf intéressants dans la première partie, un petit encaissement avec une très belle C 50 dans la deuxième mais rien de vraiment significatif dans la troisième. Manque de continuité… A faire une fois pour la C 50 !
Descente réalisée avec Manue, Patrick et Sébastien.
L’interdiction du sentier qui remonte depuis la fin de la course à l’amont rend problématique la réalisation de cette descente si l’on ne dispose pas de navette. De plus, la descente est autorisée seulement deux mois dans l’année par arrêté municipal ! Pourtant, ce vallon en vaut la peine : joli creusement et beaux obstacles jusqu’à la magnifique C 65, en partie en fil d’araignée. On se croirait presque dans la Portiacha avec de l’eau en plus ! La grande cascade peut se fractionner (broches ou nombreux spits) mais cela ne semble pas indispensable : les frottements sont largement gérables et c’est bien plus confortable de partir du haut de la cascade !
Descente réalisée avec Manue, Mickaël, Patrick et Sébastien.
Une immonde via ferrata permet d’éviter les vasques (protection des écrevisses à pied blanc) sur les 300 premiers mètres avant d’arriver dans le vif du sujet : un beau vallon joliment creusé parsemé d’obstacles bien esthétiques et souvent ludiques (sauts). En plus, à cette période, ça coulait !
Descente réalisée avec Manue, Matthieu, Mickaël, Patrick et Sébastien.
Descente peu intéressante (trois ou quatre obstacles jolis…). Nous n’avons pas compris ce qui justifie sa place dans le guide « Rando’xygène » du Conseil Général des Alpes Maritimes. L’aval semble beaucoup plus intéressant mais il est malheureusement interdit.
Descente réalisée avec Manue, Matthieu, Mickaël, Patrick et Sébastien.
La marche d’approche de ce riu est très agréable, le cadre réellement exceptionnel comme promis. L’entrée du vallon n’est par contre pas évidente à trouver. A priori pour nous il s’agit du deuxième vallon traversé par le sentier : une sangle est visible en haut du premier obstacle ( l’altitude ne correspond pas vraiment avec le topo-guide « Canyons sauvages »). La descente est très sympa car relativement longue mais manque cependant de continuité malgré de très beaux passages.
Descente réalisée avec Manue, Matthieu, Mickaël, Patrick et Sébastien.
Descente réalisée avec Manue, Matthieu, Mickaël, Patrick et Sébastien.
Une façon originale d’entrer dans la Roudoule. Malheureusement le propriétaire ou les riverains des lieux ne semblent plus tellement favorables à la descente…
Descente réalisée avec Manue, Matthieu, Mickaël, Patrick et Sébastien.
Descente réalisée avec Manue, Matthieu, Mickaël, Patrick et Sébastien.
Descente réalisée avec Damien, Fred, Maximilien et Mickaël.
Descente réalisée avec Manue et Patrick.
Descente réalisée avec Damien, Manue, Mickaël et Patrick.
Descente réalisée avec Hugo et Sébastien.