Le cadre est sauvage, l’eau cristalline et les obstacles majoritairement agréables mais malheureusement le canyon est peu continu et surtout très glissant (pollution ?), ce qui gâche le plaisir de la course.
Descente réalisée avec Patrick.
Le cadre est sauvage, l’eau cristalline et les obstacles majoritairement agréables mais malheureusement le canyon est peu continu et surtout très glissant (pollution ?), ce qui gâche le plaisir de la course.
Descente réalisée avec Patrick.
Un ravin avec une sympathique dernière cascade de 40 mètres. Le cadre est joli et la descente pas désagréable. Attention d’être bien attentif pendant la marche d’approche : il faut quitter le sentier principal au bout de 45 à 50 min pour descendre dans une ancienne châtaigneraie. Retour en 10/15 min (coquille dans le topo-guide de l’Ardèche).
Descente réalisée avec Patrick.
Cette descente était un mythe, puisque présentée comme la plus grosse « bouse » de l’Ain. Eh bien non, il y a bien pire dans l’Ain ! D’accord, il n’y a pas d’encaissement, peu de creusement, ça parpine… mais il y a une belle vue sur l’Ain, une progression aisée grâce à un élagage réalisé par la Tribu Canyon et surtout un gros filet d’eau dans les cascades ce jour-là.
Descente réalisée avec Manu, Pascal et Patrick.
La vidéo de Whaoooo :
Agréable randonnée verticale dans les bois. Le Landeron coule sur de grandes dalles calcaires et cascade cinq à six fois, tout cela à proximité de Montréal-la-Cluse. Un beau site naturel qui ravira les amateurs de géologie et qui présente tout de même un petit intérêt canyon.
Descente réalisée avec Pascal et Patrick.
Gros débit mais malheureusement eau un peu marron dans le Reposoir. Ce torrent de montagne a creusé ponctuellement de beaux passages entrecoupés de blocs et parsemés de quelques troncs. Sympathique et bien arrosé.
Descente réalisée avec Pascal et Patrick.
Cascade située plus en amont que le canyon du même nom. Un beau creusement de la vasque suspendue et une cascade bien alimentée, offrant une descente sportive en rive droite ce jour-là.
Descente réalisée avec Pascal et Patrick.
Très bel encaissement avec des petits obstacles variés. C’est bien sûr trop court mais finalement beaucoup plus intéressant que la version intégrale de la partie haute que j’avais faite il y a trois ans.
Descente réalisée avec Pascal et Patrick.
Après un bug pour trouver l’accès l’an dernier, nous retentons notre chance avec le nouveau topo-guide de Bertrand Hauser et Delphine Baratin. Et cette fois-ci, pas de problème ! La Voroize cascade d’une vingtaine de mètres dans les bois proches de Veurey. A faire comme ça en passant…
Descente réalisée avec Pascal et Patrick.
Outre son faible débit ce jour-là, cette course fut décevante car peu continue (deux grandes cascades intéressantes séparées par de la marche dans des blocs glissants) et polluée. Une forte odeur d’eaux usées parfume en effet le ruisseau dès l’arrivée de la marche d’approche, juste avant la C20. Bref, on n’a pas été emballé !
Descente réalisée avec Pascal et Patrick.
Une petite descente pas inoubliable, forestière, mais pas forcément sauvage pour autant (captage et barrage). A envisager uniquement en complément de la cascade de Couz .
Descente réalisée avec Patrick.
Rapide descente située au-dessus du village de Saint-Thibaud-de-Couz. Une belle cascade d’une trentaine de mètres et un mignon tout petit encaissement la précédant.
Descente réalisée avec Patrick.
Nous avions déjà repéré la cascade finale, immanquable quand on gagne Chambéry par Les Echelles après par exemple les gorges de Chailles. Petite descente sympathique et bien alimentée, dont l’équipement est par contre très vieillissant. Le relais suspendu sous l’arbre de la grande cascade n’est pas un grand moment de confort…
Descente réalisée avec Patrick.
Descente toujours aussi originale. Plus d’eau qu’en novembre 2006, notamment à partir des résurgences de Costeplane.
Descente réalisée avec Patrick.
Ravin peu intéressant sur sa partie haute mais qui se termine dans un bel encaissement un peu étroit. Le débit était un peu conséquent, il faut donc être très attentif dans les nombreuses désescalades non équipées. Rencontre avant l’encaissement avec un petit chamois bloqué, trop apeuré par l’eau pour suivre les traces de sa mère qui s’était enfuie en nous entendant. Tentative de sauvetage, mais ratée.
Descente réalisée avec Patrick.
De beaux passages bien creusés par ce torrent dominant la vallée façonnée par le torrent des Duyes. L’accès routier et piétonnier longe une communauté religieuse : attention à bien respecter leur quiétude !
Descente réalisée avec Patrick.
Nous avons testé l’intégrale : la partie haute ne vaut franchement pas le déplacement, mis à part pour ses originalités géologiques et sa marche d’approche dans les superbes paysages de la Réserve Géologique de Haute-Provence. La partie basse est plus intéressante et mieux équipée.
Descente réalisée avec Patrick.
Peut-être plus esthétique que le Riou de Moustiers : pas de gros obstacles mais de beaux creusements, une roche blanchie par des dépôts argileux et une eau émeraude. Le passage de la « poire » tout en jeux de lumière tient ses promesses. Le nouveau retour balisé en rive droite, annoncé en une demi-heure, fait en réalité je pense un peu plus.
Descente réalisée avec Patrick.
On ne croyait pas que le Riou puisse couler plus d’une semaine après les pluies : eh bien si ! Une eau limpide mais fraiche remplaçait les habituelles vasques croupies décrites par les forumistes de Descente-Canyon. Une très belle descente continue et variée dominant le village typique de Moustiers-Sainte-Marie.
Descente réalisée avec Patrick.
Descente aux portes d’Irun qui permet aussi de découvrir un peu du patrimoine industriel et minier du coin (mines et hauts fourneaux). La partie creusée avant les cascades vaut le coup et la grande cascade (qui est plutôt une rampe) est agréable. Elle aurait nécessité un peu plus d’eau, mais dans ce cas-là le haut doit être un peu sport… Dommage que l’équipement soit dans un état déplorable (corrosion avancée). Belles vues sur la baie d’Hendaye durant la marche d’approche.
Le passage de l’arche.
Vue depuis le chemin d’approche.
Descente réalisée avec Sébastien.
Traversée spéléologique tout simplement exceptionnelle : beaux porches d’entrée et de sortie, niveau d’eau intéressant, obstacles arrosés… Bref, 2h30 de beau canyon, mais sous terre dans une grande ambiance : hauts plafonds, grondement assourdissant de l’eau… ! A faire, mais en ayant quand même une bonne expérience préalable de la spéléo.
Le porche d’entrée (40m).
On retrouve la lumière du jour pour les dernières cascades.
Le porche de sortie (80m).
Descente réalisée avec Sébastien.