Encore une variante d’entrée classique mais sèche. Le jeu du moment c’était de ne pas toucher l’eau au prix des oppositions les plus extrêmes et improbables… Au final, on va dire que tout le monde a perdu mais maintenant on le sait, c’est faisable ; reste à affiner notre technique dans quelques renfougnes ou oppositions boueuses sous terre !
Descente réalisée avec Florence, Laurence et Peter.
Descente réalisée avec Florence, Laurence et Peter.
La variante d’entrée classique du Vero, histoire de revoir une fois encore les magnifiques couleurs des deux rappels surplombants.
Descente réalisée avec Florence, Laurence et Peter.
Retour dans le Fondo pour cause de certainement trop d’eau dans le Gorgonchon. La fin étroite et encaissée est toujours aussi dépaysante. Espérant y voir un jour de l’eau ?! (mais pas trop quand même vu l’étroitesse des lieux !)
Descente réalisée avec Florence, Laurence et Peter.
Pour cette dixième descente (!) du Formiga, ce fut royal : vrai débit sportif, soleil pile-poil dans la gorge et personne dans le canyon (enfin de justesse, en forçant un peu dans la marche d’approche !). Je n’avais jamais autant apprécié dans ce canyon l’eau émeraude et les couleurs de roches ; un moment magique en Sierra, une fois de plus !
Descente réalisée avec Florence, Laurence et Peter.
Magique !! Ma première descente m’avait déjà emballé, mais c’était sur une fin d’après-midi en avril 2005. Avec le soleil dans la gorge, ce fut assez extraordinaire : les couleurs et les lumières – particulièrement au niveau de la cascade vaguement hélicoïdale – étaient magnifiques. Un petit canyon incontournable, longtemps resté dans l’ombre pour cause de suspicion de pollution peut-être ?
Descente réalisée avec Florence, Laurence et Peter.
Mes compagnons sont décidément très attentionnés et m’ont royalement autorisé à faire cette descente très modeste en attendant qu’ils aillent chercher la voiture au parking amont du Fornocal, bien conscients du fait qu’il fallait que je fasse un peu de neuf pendant le séjour… Merci à eux ! Ah oui au fait, le barranco est bien sûr sec et assez insignifiant (moins intéressant que son voisin d’en face Sarratanas et la marche d’approche n’est même pas vertigineuse), mais le vallon de conglomérat et le paysage sont assez sympas.
Entrée involontaire par un affluent sec rive droite (les obstacles équipés peuvent se shunter) qui arrive après la première cascade du Fornocal, ce qui nous a permis finalement d’en faire la descente seuls. L’eau jouait un peu à cache, les fabuleuses concrétions étaient un peu moins vertes que dans mon souvenir (peut-être bien seulement recouvertes d’une discrète algue verte ?..), mais bien content de le re-parcourir sept ans après.
Descente réalisée avec Florence, Laurence et Peter.
Enchainé à la suite du Mascùn histoire de rentrer au camping en pente douce… Modeste descente mais finalement pas mal de beaux passages dont je ne me souvenais pas. Le niveau d’eau était assez haut et on a donc décidé de shunter la première cascade du chaos équipée en plein dans la veine ; on venait juste de ré-enfiler la combi par 30°c et la reprise aurait été un peu brusque…
Puente de las Cabras.
Descente réalisée avec Florence, Laurence et Peter.
Descendre le Mascùn seuls un 20 juin avec un vrai débit correct ? Je n’y croyais pas trop et pourtant… Juste un bémol, on est rentré une demi-heure trop tôt dans le canyon pour bénéficier du soleil dans le Saltador de las Lañas et les cascadas Peña Guara, qui les aurait vraiment magnifiées… Autrement, rapaces, eau verte, calcaire aux formes et aux couleurs fantastiques et de l’eau même dans le Mascùn inférieur. Un vrai bonheur cinq ans après ma dernière descente du Mascùn quasi-sec en avril 2005 !
Saltador de las Lañas
Cascadas Peña Guara
El Beso, portail symbolique entre le Mascùn supérieur et l’inférieur.
Dans le Mascùn inférieur, vue sur El Delfin.
Descente réalisée avec Florence, Laurence et Peter.
Balade dans les bois agrémentée de quelques vasques et cascades en général peu intéressantes. Un tout petit encaissement à la fin en mini coup de sabre pourrait être intéressant, mais malheureusement il n’y a aucun équipement. Le coin est très sympa, calme, l’eau claire avec de beaux reflets marrons mais c’est bien tout.
Habituel petit tour après Coiserette dans ce mignon canyon miniature. Descente du petit obstacle de 2 m avant le toboggan situé sous le pont (qui ne passe plus cette année, engravé). Tellement sympa que certains le descendront deux ou trois fois à la suite !
Descente réalisée avec Anne-Claire, Boris, Camille, Denise, Emmanuel B., Jean-François et Laurence.
Petit pèlerinage dans le Jura pour refaire (ça faisait quand même quatre ans !) ce petit bijou. Débit correct et soleil, donc des couleurs et des lumières toujours aussi belles dans les trois encaissements. Les embâcles ont un peu changé de place, donc on n’avait pas l’impression de refaire exactement la même descente !
Descente réalisée avec Anne-Claire, Boris, Camille, Denise, Emmanuel B., Jean-François et Laurence.
Une bonne surprise située aux confins des Hautes-Alpes et de la Drôme. Le ruisseau s’encaisse par trois fois et offre de beaux passages, dignes des canyons aragonais : eau verte, calcaire sculpté parfois de manière surprenante comme dans le laminoir de la fin. Malheureusement, ces 300 mètres d’encaissement sont disséminés sur plus de 3.5 kms, ce qui fait considérablement baisser l’intérêt de la course… Réalisé avec un vrai débit correct, c’était le moment d’y aller, d’autant que le coin est très chouette et bien calme ! Il devrait être possible de ne descendre que le dernier encaissement depuis l’aval – le plus intéressant – ce qui éviterait une longue navette à pieds (merci Max !) de 12.5 kms.
Descente réalisée avec Maxime.
Ravin très modeste situé dans un cadre naturel magnifique, dans une vallée dominant Sisteron. Deux cascades sont assez étonnantes : elles arrivent toutes les deux dans une faille perpendiculaire. Bien peu d’intérêt sinon, même par débit correct comme nous l’avons eu.
Descente réalisée avec Maxime.
Beaucoup d’eau dans cette clue pas vilaine, dont nous n’avons pas profité beaucoup puisque nous sommes descendus hors débit à chaque cascade, parfois au prix d’un peu de bartassage (heureusement la clue est large). A deux et sans connaître, on a préféré cette option…
Descente réalisée avec Maxime.
Très beau cadre, de beaux passages mais niveau canyon il ne se passe pas grand chose dans ces deux ravins !
Descente réalisée avec Maxime.
Ruisseau sec composé de cinq ou six cascades peu sculptées. Très bien équipé, belle vue sur la vallée mais très peu d’intérêt, retour en partie dans les ronces comme il se doit, et en short de bain hawaïen pour Max !
Descente réalisée avec Maxime.
Nous avons hésité à y aller vu la réputation de pollution… Effectivement, la discrète odeur de lessive habituelle – celle qui nous dit à coup sûr qu’il y a quelque part en amont une station d’épuration – était bien présente, mais vu le nombre d’insectes dans les vasques et le débit bien correct, on a supposé que ce n’était peut-être pas si pollué que ça ?? La descente est très courte (300 mètres !) mais offre quand même un ou deux petits biefs, une jolie cascatelle et une très belle baume à la sortie.
Descente réalisée avec Maxime.
C’est sûrement la descente la plus intéressante aux alentours immédiats de Sisteron. Le premier encaissement offre pas mal de petits obstacles bien esthétiques et creusés tandis que la suite, en gros à partir de l’arrivée de la cascade de Ponchette en rive droite, est plus ouverte et donc bien moins intéressante. Nous avions initialement prévu d’enchaîner les deux, c’eut été une grosse erreur, surtout qu’il y a quand même 8kms de navette, faite à pied.
Descente réalisée avec Maxime.