Une bonne surprise située aux confins des Hautes-Alpes et de la Drôme. Le ruisseau s’encaisse par trois fois et offre de beaux passages, dignes des canyons aragonais : eau verte, calcaire sculpté parfois de manière surprenante comme dans le laminoir de la fin. Malheureusement, ces 300 mètres d’encaissement sont disséminés sur plus de 3.5 kms, ce qui fait considérablement baisser l’intérêt de la course… Réalisé avec un vrai débit correct, c’était le moment d’y aller, d’autant que le coin est très chouette et bien calme ! Il devrait être possible de ne descendre que le dernier encaissement depuis l’aval – le plus intéressant – ce qui éviterait une longue navette à pieds (merci Max !) de 12.5 kms.
Descente réalisée avec Maxime.