Ruisseau du Four à Chaux

Accès au départ de la descente un peu galère, des ordures et une première partie bien peu intéressante entre la colonie de vacances et la route de Coisia (mieux vaut d’ailleurs commencer la descente à cet endroit). Le reste de la descente est composé de 4 cascades de tuf, dont une C40. Les obstacles ne correspondent pas tout à fait avec la fiche que nous avions de Descente-Canyon. Descente globalement peu intéressante, au moins avec ce débit-là.

Ruisseau du Four à Chaux

Descente réalisée avec Patrick.

Saut du Dard

Après s’être trompés de direction (nous voulions aller au Four à Chaux), nous nous rabattons sur cette unique cascade de 40 m. Le débit est correct et la cascade assez esthétique. Une bonne surprise !

Saut du Dard

Descente réalisée avec Patrick.

Ruisseau de Pissevieille

Nous sommes partis pour la marche d’approche vers 11h40 : la grande cascade vaporisait un filet d’eau. Moins de 2h30 plus tard, dans les dernières cascades, le débit nous semblait plus important : on pensait donc qu’une perte absorbait l’eau un peu avant la C 72. Mais non : le débit était bien correct dans la grande cascade. Que s’est-il passé ? Une montée en charge suite aux pluies de la nuit ou suite à une brève averse de 10 min au début de la descente ? Toujours est-il que les conditions de descente furent idéales, contre toute attente. Le ruisseau est alors une belle classique. A faire !

Ruisseau de Pissevieille

Descente réalisée avec Patrick.

Ruisseau des Côtes

Nous étions partis persuadés de faire une descente du niveau de celle des « Monts » (ruisseau donnant sur la route des Ecouges), mais non ! Le ruisseau des Côtes est un peu plus intéressant : une cascade sympa (la dernière, C 14). Elle mériterait d’ailleurs un rééquipement puisqu’elle se descend maintenant très bien dans l’eau (le bloc suspendu mentionné dans le topo-guide « Vercors et alentours » n’est plus là ).

Descente réalisée avec Patrick.

Ruisseau des Pellas

Descente effectuée à la suite de celle du ravin de Mouna. Manque de chance, on arrive après la partie qui semble la plus intéressante. Contrairement à ce qui est précisé dans le topo-guide « Infern’eaux », la dernière cascade ne serait pas infranchissable en cas de gros débit puisqu’elle peut se shunter en rive droite. Même remarque pour la couleur de l’eau que concernant Mouna.

Descente réalisée avec Manue et Patrick.

Ravin de Mouna

Petite descente intéressante et bien continue. Les six obstacles s’enchaînent bien. Le ravin n’est pas exceptionnel ni du point de vue de son creusement ni de son encaissement, mais il était au moins bien alimenté. L’eau était malheureusement trouble suite aux orages de la nuit.

Descente réalisée avec Manue et Patrick.

Canyon du Versoud (partie haute)

Intéressante descente d’une grande cascade de 150 m. Malheureusement, ancien et nouvel équipement cohabitent, ce qui ne simplifie pas la « lecture » de la voie de descente quand on ne la connaît pas. Nous sommes remontés par le passage du Versoud (humide et glissant, attention !), mais cela semble moins pire que de réaliser la partie médiane ! Comme on n’a pas vu le départ du sentier, on a d’ailleurs fait un peu les sangliers…

Descente réalisée avec Manue et Patrick.

Canyon du Rhéby

Vraiment très peu d’eau dans le Rhéby. Heureusement que l’affluent en rive gauche en apporte un peu plus. Sinon, toujours aussi sympa exceptée bien sûr l’immonde désobstruction réalisée dans le passage de la grotte : on descend maintenant facilement avec le sac sur le dos!…

Descente réalisée avec Manue et Patrick.

Gargantan du Plaa

Descente glissante et forestière ressemblant parfois à un canyon jurassien. De beaux passages dans les schistes ferrugineux. Le final sous les ponts est la partie la plus intéressante. Prévoir un peu d’équipement pour pouvoir bricoler.

Descente réalisée avec Sébastien.

Caouba d’Arribère

Le débit était peu important : il faudrait plus d’eau pour que cette descente devienne attrayante. Le début est un ravin peu esthétique à l’équipement moyen. La partie finale du canyon est parfaitement rééquipée, et ce à partir d’une sente qui traverse le ruisseau sur une passerelle (captage) : un autre accès au canyon est donc envisageable… ( à étudier sur la carte)
NB : pas besoin de navette pour ce canyon : un sentier de GR monte au village depuis la déchetterie en 10/15 min à peine.

Descente réalisée avec Sébastien.

Caouba des Gloriettes

Descente située sous le barrage des Gloriettes. Le creusement n’est pas spectaculaire mais la descente est agréable et complète bien une journée. Pour éviter une navette à pied, nous avons choisi de sortir à la fin de la partie encaissée, au niveau de l’échappatoire rive droite.

Descente réalisée avec Sébastien.

Barrancou de Saugué (aval)

Cette partie est bien plus intéressante que l’amont : les obstacles s’enchaînent sans discontinuer. La grande cascade ( Pich Gaillard) est un must. Le tout reste technique (nombreuses mains-courantes rappellables) et très bien alimenté, même au mois d’août. Il n’y a malgré tout aucun problème de progression.

Descente réalisée avec Sébastien.

Gargantan d’Ossoue (amont)

Court encaissement situé sur les hauteurs de Gavarnie. Certainement une des descentes les plus esthétiques du secteur, surtout quand le soleil est de la partie. Les obstacles sont variés et portent tous un nom significatif : la porte, la fenêtre, la vasque du pendu… A faire !


« La porte ».

Descente réalisée avec Sébastien.

Barrancou de Mensongé

Torrent raffraichissant situé au coeur du village de St-Sauveur puisqu’arrivant aux thermes. Quelques cascades sympathiques. La sortie en rive gauche semble être problématique ( arrivée dans le parking d’une résidence ) mais nous n’avons pas vu comment faire autrement.

Descente réalisée avec Sébastien.

Chli Schliere

Ce canyon est situé à moins de dix kilomètres de l’autoroute : bien pratique sur la route du Tessin… La marche d’approche décrite dans le topo-guide suisse est un peu « sanglier » ( les pros du coin font une navette et approchent par un bon sentier ), mais la descente vaut le coup : le canyon est bien alimenté et les obstacles bien sympas. Un regret : beaucoup de cordes fixes pour contourner certains obstacles tandis que les amarrages pour descendre dans l’eau sont un peu négligés…

Descente réalisée avec Sébastien.

YD, marmitologue